« Cette situation est due à la voracité de l’équipe de l’APC, avec la complicité de la Daïra, qui veut inventer, dans un but non encore formellement identifié, mais que tout le monde devine, des terrains d’implantation de constructions occultes et à dessein inavoués. L’APC a d’abord commencé par détruire les jardins ouvriers qui avaient été formés dans la cité. Au lieu d’imposer des normes et d’inviter les citoyens à les respecter, le maire a décidé de détruire à coups de bulldozer tous les espaces résiduels situés entre les bâtiments pour se les approprier et en faire des offres électoralistes. Le maire a accordé une concession à une entreprise, sans contrat, sans nom et donc exempte de respect des normes pour implanter des bâtiments entre… des bâtiments », ont dénoncé les citoyens sur place.
Ils ont précisé que « cela a endommagé gravement le stade de jeux construit récemment et qui se trouve inopérant. Il s’agit là d’une grave atteinte à la propriété collective au profit d’intérêts occultes. Résultat : la cité n’a plus de stade et, en contrebas, il y a un chantier qui ressemble à un lendemain de tsunami. Les égouts suintent de tous les bâtiments et ni l’APC, ni l’OPGI et ni aucune autre entité ne se sentent responsables de cette grave situation qui a déjà de graves conséquences sanitaires sur les citoyens. »
Le dimanche 13 mars, les protestataires ont fermé les mêmes accès à la ville d'Azazga. La situation s’est détendue en fin de journée après l’arrivée du maire et des responsables de la Direction de l'urbanisme et de la construction (DUC) de Tizi-Ouzou qui ont constaté les dégâts et pris la mesure de la légitimité de la protestation, mais sans donner suite aux revendications, relèvent les citoyens.
ysn
SIWEL 151929 MAR11
Ils ont précisé que « cela a endommagé gravement le stade de jeux construit récemment et qui se trouve inopérant. Il s’agit là d’une grave atteinte à la propriété collective au profit d’intérêts occultes. Résultat : la cité n’a plus de stade et, en contrebas, il y a un chantier qui ressemble à un lendemain de tsunami. Les égouts suintent de tous les bâtiments et ni l’APC, ni l’OPGI et ni aucune autre entité ne se sentent responsables de cette grave situation qui a déjà de graves conséquences sanitaires sur les citoyens. »
Le dimanche 13 mars, les protestataires ont fermé les mêmes accès à la ville d'Azazga. La situation s’est détendue en fin de journée après l’arrivée du maire et des responsables de la Direction de l'urbanisme et de la construction (DUC) de Tizi-Ouzou qui ont constaté les dégâts et pris la mesure de la légitimité de la protestation, mais sans donner suite aux revendications, relèvent les citoyens.
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